Une amie arménienne s’appelle Méline.
Elle m’a raconté le “phantasme sémantique” de sa prime enfance.
Tous en ont un.
Elle, c’était Ménilmontant.
Quand elle “remontait” , assez péniblement, cette rue parisienne en hauteur et en pente, pour rentrer chez elle après l’école (primaire), elle trouvait très gentil que le maire de Paris ait donné à la dite rue son prénom et son action.
Elle lisait “Mélinemontant“…
On en rit encore. Ce genre d’histoire est vital.