Zola fait dire à Claude Lantier, dans “L’œuvre” :
« Quand la terre claquera dans l’espace comme une noix sèche, nos œuvres n’ajouteront pas un atome à sa poussière. »
Pas de quoi nous inciter à écrire.
Mais, peu importe, il restera du vide, ce qui, sauf erreur, est ce qui définit géométriquement l’espace. Et l’on peut préférer la beauté de l’espace désencombré à la saleté de la poussière des restes.
C’était juste un billet sans importance, ceux auxquels l’on tient…