vocis bis

Flatus vocis

A l’instant même, il y a quelques minutes, on vient de me téléphoner. Juste pour me dire que j’avais effacé mon billet sur “l’air ébranlé” ou “un truc comme ça”. Et que c’était pas bien d’effacer ses billets. L’interlocuteur en avait besoin, immédiatement, pour alimenter une conversation dont il me disait que justement elle était tellement “creuse” (comme beaucoup en ce moment), qu’il fallait qu’il “case” la fameuse citation latine que j’avais donné à lire et à utiliser. Il avait oublié. Ce qui est normal pour un non-latiniste.

Je lui ai répondu que je n’effaçais jamais mes billets, sauf dans les minutes qui suivent une publication hasardeuse et inutile. Et que la fonction “recherche” de mon mini-site fonctionnait parfaitement. Je redonne le billet, écrit, il y a bien longtemps, mais toujours d’actualité, semble-t-il. Du moins à l’heure de l’apéro. Je ne sais ce dont il est question dans cette conversation. Sûrement du Covid, ou du vaccin, ou du floutage de visages de flics ou des manifs sur une Loi, qui permettent aux non-masqués de moins s’ennuyer. J’espère, qu’en retour, on va me la raconter, cette conversation dans le vent. Juste un clic ci-dessous pour l’accès à ce vieux billet…