La rabbine H

Delphine Horvilleur

Après la gitane, la rabbine.  On me bassine avec son nouveau bouquin dont le titre est, comme toujours, une tentative d’imiter ses copains de Libé, lesquels n’ont toujours pas honte, après des décennies à ramer, de vouloir chercher le bon mot dans le titre à la une. Les lecteurs de Libé doivent, certainement, raffoler de ce type de titre quotidien adolescent. Ils doivent se sentir plus intelligents.

Madam Horvilleur s’y donc mise. Après “il n’y a plus de Ajar”, assez ridicule ,voici  le “Comment ça va pas ?”.

Bon. Encore du vent dans les synagogues et les studios des matins de France Inter qu’elle adore, mais dont les ventilateurs sont en panne (sûrement un coup du Mossad).

Fatigué pour à nouveau vilipender, je renvoie par un clic ci- dessous à un billet écrit il y longtemps sur son Ajar de pacotille.  Dommage, elle “parle trop” diraient les chats sauvages de Dick Rivers des années 60, qu’on confond, très curieusement, pour cette chanson, avec les chaussettes noires d’Eddy Mitchell.

Voici  mon billet de 2022 :

https://michelbeja.com/delphine-horvilleur-identite

Bonne lecture, bonne nuit.

PS. Les dernières Unes de Libé

“familles monoparentales, la mère de toutes les batailles”

“Fast fashion, comment lui tailler un costard”.

“Européennes : le bras de ferme”

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