De Vinci dérange magnifiquement

LEONARD DE VINCI, FEMME AVEC UNE HERMINE, VERS 1489. Musée national de Krakow

Extrait de GOOGLE ARTS ET CULTURE. Le sujet du portrait est Cecilia Gallerani (vers 1473-1536), maîtresse réputée de Lodovico Sforza, duc de Milan, également connu sous le nom de « il Moro » (le Maure). L’hermine du portrait qu’il a commandé est une allusion au duc Sforza lui-même, également appelé l’hermine blanche (Ermellino Bianco). Le portrait incarne l’idée de la Renaissance d’une image comme illusion de vitalité naturelle. L’artiste y est parvenu grâce à ses connaissances en anatomie et à ses compétences en éclairage, qui lui ont permis de créer une figure humaine en trois dimensions sur le plan de l’image. Le fond d’origine, repeint en noir au XIXe siècle, a également été modelé par la lumière tout comme le personnage, ce qui a dû donner l’impression que le modèle sortait de l’ombre. Le portrait est devenu propriété de la République de Pologne en 2016.

Soit. Mais ce peintre , on  ne sait comment, nous dérange, nous emmène on  ne sait où. Dès que  nous fixons les yeux de la femme.  La Joconde est en concurrence, du même mouvement dérangeant, ce qui, en réalité définit l’art.

The National Museum in Krakow

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