Hardy japonaise ?


 

 

 

 

 

 

Je n’en reviens pas. Un copain de très longue date qui connait donc beaucoup trop mon passé, qui n’a pourtant même pas lu mon billet sur FH, m’envoie cet article paru dans le Figaro le 24 Janvier et que je colle plus bas. En ajoutant, sérieusement, que je devrais lui écrire.

Je lui réponds :

– Ecrire quoi ? Des chansons ? Tu sais bien que j’ai arrêté.

Il me répond :

– Non, non, juste lui écrire, elle adorera. J’ai son adresse mail. Je la connais un peu. Ecoute son dernier disque et le clip et tu lui écris. Et tu m’envoies une copie. Elle adorera.

Je vous jure que je ne sais pas pourquoi il me demande de lui écrire. Il y a anguille sous roche, comme dit ma gardienne.

Je ne vais pas lui écrire. Bien que..

Je colle après l’article le lien pour le clip.

Je ne commente pas, je vais lui écrire. Peut-être une chanson.

Découvrez Kumisolo, la Françoise Hardy japonaise

Touche-à-tout japonaise exilée à Paris Kumisolo sortira son premier album solo, Kabuki Femme Fatale, le 7 avril sur le label Alter K. Crédits photo : Linus RicardPhoto prise par: Crédits photo : Linus Ricard

EXCLUSIF – Plongez dans l’univers kitsch, mielleux et délicieusement planant de cette touche-à-tout nipponne installée à Paris depuis une dizaine d’années et écouter La Tête ailleurs, extrait de l’album Kabuki Femme Fatale, à paraître au printemps.

Vous ne connaissez pas encore Kumi Okamoto, mais l’avez sûrement déjà aperçue quelque part. Dans ses précédents projets, le trio Konki Duet ou le duo Crazy Curl, dans une vidéo de recette de cuisine ou dans un défilé Louis Vuitton. Cette touche-à-tout de 37 ans en provenance du pays du Soleil-Levant exilée à Paris multiplie les expériences dans la musique, la mode, la cuisine et l’art en général. Pour son dernier projet en date, «Kumisolo» s’est fait accompagner par le groupe d’exotica Joe Dalovaz à Stockholm et en a rapporté un album, Kabuki Femme Fatale, qui sortira le 7 avril prochain sur le label Alter K.

Extrait de ce premier opus pour son aventure solo, le morceau La Tête ailleurs, que Le Figaro vous propose de découvrir en exclusivité. Le clip sortira vendredi 27 janvier.

 Inspirée par les icônes des années 1960

Un morceau pop et poétique à la mélodie entêtante qui rappelle les grands noms du yé-yé. Cette ancienne étudiante en cinéma et amoureuse de la Nouvelle Vague n’a jamais caché s’inspirer des icônes des années 1960. Mais la force créatrice de cette Françoise Hardy japonaise, c’est l’imagination, comme elle le reconnaît. «Je me suis imaginée sifflotant cette chanson dans la rue, puis m’envolant dans le ciel au moment du refrain. L’imagination, c’est ce qu’il y a de plus puissant chez les hommes. On peut tout faire avec», affirme-t-elle.

Entourée sur scène par Nicolas Lockart, bassiste de Fishbach, Raphaël Léger, batteur de Tahiti 80, et son guitariste attitré Romain Dejoie, Kimisolo dresse un univers disco pop psychédélique parfait pour avoir «la tête ailleurs». À mi-chemin entre François Truffaut, Wes Anderson, Françoise Hardy et Roberto Pregadio, plongez dans l’univers kitsch, mielleux et délicieusement planant de Kumisolo. Rendez-vous ce vendredi 27 janvier pour la sortie du clip.

 

ET ICI LE CLIC POUR LE CLIP

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