Je colle ci-dessous “l’instantané pdf” (agrandissez sur votre écran) du “Magazine littéraire” qui m’a incité à acheter et lire ce petit livre. “Un automne de Flaubert”. Alexandre Postel.
Je viens de le terminer.
Deux commentaires sont possibles :
- soit, immergé dans la tristesse de Flaubert, vous en chopez un peu et finissez triste en fermant le bouquin
- Soit vous admirez encore plus l’immense écrivain qui ne revient au monde que par l’exactitude d’un mot au milieu d’autres tout aussi exacts.
A vrai dire, l’alternative est assez saugrenue : la tristesse, lorsqu’elle est flaubertienne, est acceptable. Peut-être même essentielle.
