1 – LCI (ou si l’on veut “Radio Kiev”) devrait recevoir le Prix Nobel de la Guerre, tant les vieux militaires qui touchent le cacheton et les chroniqueuses qui se disent journalistes la soutiennent, la désirent, à coups de minutes nucléaires et répétitives, toujours hargneuses. LCI, a la guerre comme maîtresse. Tous les plateaux de vieux chroniqueurs qui ne savent même plus ronchonner, bavent contre l’ennemi poutinien, certainement existant, mais dont on forge, allègrement, la figure diabolique nécessaire à l’emballement qui précède la guerre. Ces vieux messieurs et ces jeunes dames qui sortent de chez le, coiffeur avant d’envahir les plateaux la feront (la guerre) chez Lipp.

2 – En vérité, Il faudrait mettre au piquet tous ses va-t-en guerre menés à la cravache par notre Président adolescent qui confond Cour de récréation avec champ de bataille sur lesquels des jeunes européens, ukrainiens et russes meurent pour l’on ne sait quoi, oublié dans 10 ans. Un bout d’Ukraine qui était russe, peuplé de russes. Certes c’est une invasion. Mais elle ne détruit pas l’Europe. Elle est injuste mais ne vaut une guerre qui peut dégénérer.
Les chefs d’État majors en rajoutent une couche. Ils la veulent cette guerre qu’ils n’ont pas eu. Près de 80 années sans guerre généralisée de sang. Intolérable pour les sous-chefs d’Etat Major…
3 – Le pompon de l’ânerie, de la bêtise qui peut côtoyer un front haut par la calvitie, revient à notre Ministre des affaires étrangères, Mr Jean-Noël Barrault lequel, toujours pour exciter le Kremlin, et jouer le clown de l’Europe, sous la baguette de l’ado de service, a sorti une nouvelle ânerie (ce que font en principe les ânes)
Voici l’extrait du Point

Il oublie, idiot, que Zelenski, lui est sans mandat qui s’est achevé 5 ans après son élection, soit en Mai 2924.
Il est vrai qu’on ne peut en guerre organiser des élections et sa représentativité ne semble pas faire défaut.
Mais il y a loin entre un Président élu dans des conditions “soviétiques” imaginées frauduleuses sans preuves, et une absence d’élections avec le maintien non démocratique de l’ancien élu qui s’institue presque Consul, se maintient sans mandat, au gré de sa volonté ou de celle, objective, de l’Europe, ce qui est pire, s’agissant d’un pays qui manie le concept d’indépendance avec brio et quelques bévues d’ordre historique
Non ?
Moi, je rêve que plus un seul jeune ne meurt dans cette guerre et vite retourner à Odessa où j’étais en 2017, bien nourris dans d’excellents restos, dans les boîtes punk et jazz,surtout dans son bel opéra de qualité entouré par les magnifiques ukrainiennes, tant pis pour le cliché et les beaux quais su Port, son escalier mythique et ses plages d’une tristesse romantique
Barrot est un rigolo qui ne rigole jamais.
Écart photographique ukrainien (Odessa)
billet en 2017 : 2 femmes
Deux femmes, inconnues, photographiées. L’une à Odessa, l’autre à Madrid. Elles peuvent hanter les jours d’un photographe. Photographie Michel Beja extraites de l’ouvrage imaginaire “michel Béja, arpenteur chanceux” Éditions des PUF, cédé,à Éditions Malesherbes.


MB