Les réactions à mon précédent billet, quelquefois violentes à l’égard du peuple, du PS, du RN, de LFI (les 3 par automatisme idéologique), de la moitié des LR (par peur des urnes ) qui sollicitent suspension ou abrogation de la réforme des retraites m’obligent à conclure.
LA FAINÉANTISE, MÂTINÉE D’IRRESPONSABILITÉ ET DE MECANIQUE PARTISANE EST BIEN A L’ORIGINE DE CETTE CAPITULATION DÉMOCRATIQUE QUI SONNE LE GLAS DU POLITIQUE.
Il est curieux de constater que tous les commentateurs s’embourbent dans des discours biscornus (on ne fait pas le jeu de mot sur le “bis-Lecornu”) sans poser la question anthropologique de la carrière professionnelle et ses effets périphériques ou secondaires.
Qu’on ne vienne donc pas nous dire que le peuple est dans une colère froide devant le spectacle affligeant. Il ne tient qu’à lui de renverser la vapeur pour ne pas encore alourdir la dette et le dépense publique (la retraite constitue la moitié de la dépense).
Il y a des mots inaudibles, le peuple ayant toujours raison. Ce n’est pas toujours vrai, dirait le républicain qui réfléchit sur la démocratie, les romains comme on les appelle…