Télérama, nous en sommes les premiers lecteurs, il y a longtemps donc. Quand, nécessairement, sur les bancs de la faculté, la gauche à laquelle nous appartenions, quasiment de plein-droit, ne pouvait se definir d’àbord, au-delà du prolétariat un peu fantôme, que par la célébration de la création, l’apologie de la culture. Livres, cinéma, théâtre. Tous, très curieusement, considéraient, que le “cultivé” était “de gauche”. Nous tentions ainsi de ne pas contrarier l’affirmation,
A l’époque les marqueurs surgissaient. Le Monde, pas encore d’extrême- gauche wokiste, l’Evènement du jeudi râleur à la Kahn, les Cahiers du Cinéma post nouvelle vague, flirtant aussi avec le maoisme, pas Libé sartrien à l’encre mal fixée qui noircissaient nos belles mains.
Et notre chouchou Télérama, avec ses plumes et son sérieux tiré de la chrétienté de gauche, jamais en retard, la revue “Etudes” des jésuites étant la plus remarquable de tous. Et Télérama était presque sa sœur profane, tout en cachant joliment son cœur catholique.
Moi, juif, ça m’allait. A l’époque, l’antisémitisme était de droite , le Gud ou la gauche marxiste-léniniste butée, dans la tradition historique antibanque (la formule séculaire) ou, encore, proudhonienne (l’utopie également antisémite qui ressemble un peu à celui des écologistes actuels, des idiots quoi). Et Telerama vénérait les kibboutz, ça contrebalançait.
Des décennies après, Télérama, je le lis avec une hargne toujours rentrée. Ils sont devenus ce que deviennent les imbéciles, les mêmes toujours, ou ce que sont d’emblée, sans passage, les jeunes rédacteurs sans plume qui ne connaissent que trois adjectifs glanés souvent immédiatement, sans apprentissage, dans le champ de la haine : des antisionémites, des petits wokistes sans talent. Il suffit de defendre le peuple immigré, non blanc, des hargneux qui confondent image et slogan. Il est vrai que Netflix leur en donne la faculté, comme l’eau de leur bain. Homos, trans, blacks . Fastoche quoi.
Télérama. Il ne leur reste que la non-concurrence qui me fait, encore, m’abonner, payant. A vrai dire, on va chercher, entre les formules antiblancs sans sens qui feraient devenir racistes des “honnêtes hommes” dans lesquels je me range, une locution qui permet d’apprécier un film ou une série
On la trouve de temps à autre. Et on reste abonné tout en le regrettant. Comme aujourd’hui après la lecture de la critique de la série Un jour. Je la colle. Je plains le “journaliste” qui l’à écrit que je ne veux citer, par compassion. La direction de Télérama devrait rechercher l’intelligence et se débarrasser du prêt -à-penser wokiste, mal digéré par “l’écrivant” un peu Inculte et sans verbe, dans le gnangnan prévisible et téléphoné
Je suis blanc filiforme, comme je suis, simplement, un Humain sans hargne.
EXTRAIT TELERAMA 8/2/2024 mis à jour 29/05/2024
Plus contemporaine dans son casting et dans son interprétation que ne l’était la première adaptation de l’œuvre de Nicholls au cinéma – Un jour, de Lone Scherfig (2011), avec Anne Hathaway, Jim Sturgess, et un parterre de comédiens blancs et filiformes –, la minisérie se démarque aussi par une BO heureuse. Sorte de playlist sélective d’un mélomane des années 1990-2000 (rock progressif, folk, eurodance), qui prend le relais en chansons des états d’âme des personnages
Je ne peux résister au collage de la définition trouvée en ligne des “vers intestinaux”. Le blanc serait donc un ver. Est -ce qu’a, aussi, voulu dire le petit critique de service ?
EXTRAIT de “htpps://soinsdenosenfant.cps.ca”
Les vers intestinaux (oxyures) sont de minuscules vers blancs filiformes qui vivent dans le rectum. Durant la nuit, ils sortent de l’anus (les fesses) et déposent leurs œufs sur la peau avoisinante. Les vers intestinaux peuvent causer de l’inconfort, mais ne provoquent pas de maladie.