Georgia

Je ne savais pas que l’écoute du « Georgia » du grand Ray pouvait, à ce point d’exacerbation du sentiment, explosif, dans sa force ineffable, ébouriffante, féérique, miraculeuse, mirifique, amener à faire pleurer ceux qui le peuvent. Plus que la petite nostalgie des moments d’errance ou des slows d’adolescent ébahi par le corps collé d’une fille aux yeux verts. Encore un « serrement. Un « Georgia on my mind » enlaçant, prodigieusement le corps jusqu’à le ligoter dans la vérité profonde de son centre, sans l’étouffer.

Écoutez, écoutez. Et même si c’est la millième fois, vous comprendrez mes mots. Vous serez ébahis par les soubresauts indicibles de votre peau.

Pleurez, si vous le pouvez écoutez, pleurez, seuls ou, mieux avec d’autres.

J’offre ci-dessous la chanson et les paroles.

Pleurez, si vous le voulez, chantez. Et vous dormirez bien.

Georgia, Georgia
The whole day through
Just an old sweet song
Keeps Georgia on my mind (Georgia on my mind)

I said Georgia
Georgia
A song of you
Comes as sweet and clear
As moonlight through the pines

Other arms reach out to me
Other eyes smile tenderly
Still in peaceful dreams I see
The road leads back to you

I said Georgia
Ooh Georgia, no peace I find
Just an old sweet song
Keeps Georgia on my mind (Georgia on my mind)

Other arms reach out to me
Other eyes smile tenderly…

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